Les origines de la vie

7 Février 2018, 17:04pm

Publié par Didier Lamouche

La Science égarée

La science s'est égarée dans les méandres des causalités :

privilégiant le Pourquoi ? délaissant le Comment ?

Quand on s'est égaré, il est bon de retourner sur ses pas, son point d'origine.

Esprit : vient du latin « spiritus » qui signifie « souffle ».

Esprit est employé à tort dans le sens de conscience, intelligence.

Âme : vient du latin « anima » qui signifie « ce qui anime ».

Le « Cogito, ergo sum » (Je pense, donc je suis) de René Descartes a été repris à son avantage par Itsuo Tsuda, un vieux monsieur que j'ai brièvement « connu », pratiquant de longue date l'Aïkido et le Katsugen Undo (mouvement régénérateur), sous la forme « Même si je ne pense pas, je suis ». Itsuo Tsuda est l'auteur de plusieurs livres, parus au Courrier du Livre, autour du concept de « la prison mentale ».

La théorie Darwiniste

Charles Robert Darwin (1809 - 1882) était un naturaliste anglais dont les travaux sur l'évolution des espèces vivantes ont révolutionné la biologie avec son ouvrage De l'origine des espèces paru en 1859.

La théorie

La Terre a été peu à peu colonisée par les plantes, des organismes unicellulaires qui, de mutations en mutations, ont évolué vers des êtres plus complexes : les animaux, dont l’homme.
L’évolution se fait par sélection naturelle, ce sont les animaux les plus adaptés à leur milieu qui survivent. Ce sont donc eux qui auront le plus de chance de se reproduire, et donc de transmettre leurs gènes.
Un animal qui aurait une anomalie génétique, par exemple, plus de poils que ses congénères, aura plus de chance de survivre dans un environnement plus froid. Il pourra donc transmettre cette anomalie positive à toute sa descendance. Cette mutation se diffusera rapidement à toutes les nouvelles générations de cette espèce.

Voici un exemple de travers de la Science : le cloisonnement par domaines d'étude.

Pour un certain nombre de scientifiques de haut rang, apparemment frileux, la sélection naturelle a promue le gêne de la pilosité pour nos ancêtres vivant dans la nature. Ils étaient donc velus pour s'adapter aux conditions climatiques de leur milieu, et le gène de la pilosité s'est imposé naturellement.

Pourtant, les 53 enfants sauvages capturés et étudiés entre 1344 et 1961, nommés par la Science Homo Férus, et vivants totalement nus en milieu naturel, mis à part leur absence d'élocution, avaient tous ce point commun : aucun ne craignait les basses températures, malgré une pilosité moderne, c'est à dire inexistante.

Il n'est donc vraiment pas certain que notre ancêtre proche Homo Sapiens ait eu une pilosité abondante à l'instar des grands singes.

Ces enfants sauvages ont été étudiés par des médecins, puis par des sociaux-psychologues. Les naturalistes, comme Darwin, les anthropologues et généticiens ne se sont pas penchés sur ces études.

Rares sont les scientifiques qui appréhendent notre monde de manière globaliste. Heureusement certains font preuve d'ouverture d'esprit, ce ne sont pas toujours des scientifiques, mais ils en ont la minutie et la rigueur.

Interrogations les yeux ouverts

Si effectivement un évènement d'envergure planétaire, comme le laisse supposer les différentes, mais pas uniformes, localisations de la couche KT, est responsable de l'extermination de tous les dinosaures terrestres mais aussi marins, ...

... comment les crocodiliens (Mésozoïque 252 millions d'années BP) et les requins (Dévonien 420 millions d'années BP) ont-ils réussi à y échapper ???

Pour la longue période temporelle d’occupation de presque toutes les niches écologiques par les dinosaures, l’archéologie a exhumé des centaines de milliers de fossiles de dinosaures, mais extrêmement peu de fossiles de mammifères.

N’y avait-il aucun mammifère même rudimentaire, pour cette période ?

Les plus anciens fossiles de mammifères trouvés sont ceux des Purgatorius qui remontent à 190 millions d’années BP, localisé pour l’essentiel en Amérique du nord.

Les innombrables familles de mammifères actuels seraient-ils issus par évolution de cette petite musaraigne ???

Les mammifères, comme leurs congénères dinosaures avant eux, semblent être tombés du ciel. ... Cela se pourrait bien …

La théorie évolutionniste de la vie sur Terre ne fonctionne qu’en pointillés.

le Purgatorius - vue d'artiste

Le Purgatorius cératops, fossile découvert en Amérique du Nord dans le Montana sur Purgatory Hill en 1965, est l'un des premiers mammifères apparus il y a environ 190 millions d'années. D'un poids d'environ 150 g, son aspect devait être proche des musaraignes.

On peut lire dans de nombreuses revues scientifiques et encyclopédies, que les aviens sont les seuls dinosaures à avoir survécus à l’extinction KT. Mais l’archéologie n’a jamais apporté aucun lien entre l’archéoptérix et les milliers d'espèces d'oiseaux.

Théorie étendue

La Science a cerné, grâce à l'archéologie et sa panoplie d'outils de plus en plus performants (ex/ datation C14 - luminescence stimulée optiquement (OSL - etc...) et a daté les différentes niches écologiques et les différentes espèces les habitant ou les ayant habitées.

La théorie de l'évolution, comme son nom l'indique, n'est malheureusement qu'une théorie, qui a ses propres limites.

Elle fonctionne tant qu'elle se limite à une espèce qui a su évoluer et s'adapter à son environnement. Où elle perd pied, c'est quand, sur sa lancée, elle se risque à vouloir expliquer les origines de la vie sur notre planète, et trouver une continuité d'une espèce à l'autre - de l'organisme uni-cellulaire à Homo Sapiens, par exemple.

En effet, si la Science a catégorisé un nombre considérable d'espèces, et a daté la fourchette temporelle de leur existence, elle n'a pu apporter aucune preuve du passage d'une espèce ancêtre à celle qu'elle suppose être son espèce descendante.

Prenons en particulier la lignée des primates, pour ce qu'elle nous intéresse le plus : l'homme.

On sait que Homo Sapiens et Homo Néenderthalensis ont cohabité, et se sont même métissés au cours d'une même période temporelle, mais rien ne prouve jusqu'alors, qu'ils sont issu des primates des périodes temporelles qui les ont précédés, tels Homo Érectus, Homo Habilis ou un des types d'Australopithèques.

De nos jours, l'archéologie cherche toujours ce qu'elle appelle le chaînon manquant, la preuve d'une espèce qui relierait le maillon des Homos archaïques au maillon des Homos modernes.

La chaine de la théorie de l'évolution est faite de maillons n'ayant aucun lien avéré entre eux.

Il n'est pas bien sérieux pour des esprits scientifiques, de passer d'une « théorie de l'évolution » à une « certitude de l'évolution », sans aucune preuve matérielle irréfutable liant les espèces les unes aux autres.

Métaphores

La métaphore du mur, où chaque brique représente une même espèce et chaque rangée de briques une même période temporelle, est plus adaptée que celle de la chaine.

La vie biologique terrestre peut donc être comparée à un mur fait de briques empilées verticalement, et rangées horizontalement, mais sans mortier pour les lier les unes aux autres. Une rangée correspondant à une même période temporelle, pendant laquelle de multiples espèces (briques) différentes ont cohabité.

Le mortier manquant a été remplacé par certaines personnes bien mal informées, par des hypothèses, vues par d'autres comme des vérités. Mais le lien entre les briques n'existe pas réellement, du moins n'a pas encore été trouvé.

Un tel mur, bâti sans mortier, ne demande qu'à tomber ...

Alternative

La théorie de l'évolution que l'on veut appliquer à l'ensemble des espèces biologiques terrestres, en vue d'une explication rassurante pour notre intellect, est une chaine dont les maillons ne sont toujours pas connectés les uns aux autres ...

Il y a alors, la possibilité, qui angoisse le genre humain, que les espèces biologiques terrestres aient été implantées, sans aucun liens physiologiques directs entre elles, ni continuités temporelles.

La molécule d'ADN, si commune à la vie animale, n'étant que leur seul lien de parenté apparent, qui a servit de matériel de base à des généticiens de génie, qui les ont toutes fabriquées indépendamment les unes des autres, améliorant leur art à chaque nouvelle création.

En ce qui concerne la lignée Homo, ou du moins son dernier maillon : Homo Sapiens, cela nous ramène à la vision biblique de l'ancien testament, la genèse, du premier homme et de la première femme, tous deux implantés sur Terre.

Genèse 2, 7 Alors Yahvé Dieu modela l'homme avec la glaise du sol, il insuffla dans ses narines une haleine de vie et l'homme devint un être vivant.

Genèse 2, 22 Puis, de la côte qu'il avait tirée de l'homme, Yahvé Dieu façonna une femme et l'amena à l'homme.

Genèse 2, 17 Mais de l'arbre de la connaissance du bien et du mal tu ne mangeras pas, car, le jour où tu en mangeras, tu deviendras passible de mort ".

Genèse 3, 5 Mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront et vous serez comme des dieux, qui connaissent le bien et le mal ".

Il leur a été formellement interdit d'accéder à la Connaissance, c'est à dire comment ils ont été conçus, et par là même ce qu'ils sont réellement ... oblitération de leur mémoire.

Implantations ET

Un ET du Corps Expéditionnaire du Domaine dans notre galaxie, fut capturé indemne et interrogé en 1947 par l'US Air Force. Il déclara, entre autre, avoir été, il y a plusieurs milliards d'années, membre d'un laboratoire de biologie appelé Entreprise de Régénération Arcadia.

Des formes de vie différentes ont été implantées sur Terre à différents stades, adaptées aux environnements terrestres qui ont été fonction de l'évolution de la Terre et des cataclysmes dû à son instabilité. Il en est de même pour les différents types du genre Homo : mongoloïde, négroïde, européen, aryen et bien d'autres. Tous les Homo Sapiens n'ont pas migré, même en plusieurs vagues, de la corne de l'Afrique, ou comme le pensent certains anthropologues maintenant, d'Afrique du Sud.

Les mammifères du 21ème siècle ne sont pas issus par évolution de musaraignes du Jurassique inférieur.

La vie biologique a été élaborée sous différentes formes à partir d'un même matériel génétique de base, et implantée sur de nombreuses planètes dans l'univers physique, en particulier la Terre.

[…] Les spécificités de conception et les spécificités techniques furent transmises sur une chaîne de montage à une équipe d’ingénieurs en biologie cellulaire, en chimie et en mécanique. Leur travail consistait à intégrer tous les facteurs de composition en un produit final viable, fonctionnel et esthétique.

C’est alors que des prototypes de ces créatures furent produits et testés dans des environnements créés artificiellement. Les imperfections furent corrigées, on procéda aux modifications, après quoi la nouvelle forme de vie était « dotée de » ou « animée par » une force vitale ou une énergie spirituelle avant d’être introduite dans l’environnement planétaire réel pour le test final.

Lorsqu’une nouvelle forme de vie était introduite, nous contrôlions les interactions de ces divers organismes biologiques avec l’environnement planétaire et avec les autres formes de vie indigènes. Les conflits nés des interactions entre des organismes incompatibles étaient résolus dans des négociations entre nous et d’autres sociétés. […] Dans quelques cas, des modifications furent pratiquées dans l’environnement planétaire, rarement toutefois, l’architecture d’une planète étant beaucoup plus complexe que la modification d’une forme de vie individuelle.

Au même moment, un ami et ingénieur avec lequel j’avais auparavant travaillé dans l’Entreprise de Régénération Arcadia, longtemps après que j’eus quitté la société, me dit que l’un des projets dont ils avaient passé contrat à une époque plus récente, consistait à fournir des formes de vie à la Terre en vue de repeuplement après qu’une guerre dans ce secteur de la galaxie ait pratiquement détruit toute vie sur les planètes de ce secteur. Cela se passait il y a soixante-dix millions d’années environ. […] Ce que vous voyez à présent sur Terre est l’immense diversité de formes de vie qui résulta de ce travail. Vos scientifiques pensent que la fallacieuse « théorie de l’évolution » est une explication de l’existence de la totalité des espèces qui se trouvent ici. La vérité est que la totalité des espèces présentes sur cette planète et sur toute autre planète de cet univers ont été créées par des sociétés telles que les nôtres. […]

Source : Alien interview chapitre 10 pages 132 et 140

Pour certains, la Science est LA nouvelle religion, certes moins superstitieuse que les anciennes, mais tout aussi enorgueillit d'elle même.

Partager cet article